Poème de Jack Harris sur une musique de F. Lai.
Harmonie
A travers bois et champs je vais à la rencontre
D'un monde qui inspire à la paix, la douceur,
Contrairement aux villes où la vie nous démontre
La folle agitation qui cause le malheur.
En ces lieux enfiévrés règne l'indifférence,
L'humain est renfermé, égoïste, jaloux,
Il vit comme un reclus dans une effervescence
Qui brise le mental, excite le courroux.
Retiré de ce monde affairé et brutal
Qui n'a rien d'engageant, qui est impersonnel,
J'ai préféré opter pour le monde rural
Plus rustre, c'est certain, mais moins artificiel.
Je vis dans l'harmonie ; les chants de la nature
Que m'apporte le vent sont de belles chansons
Et, lorsque un jeune hiver amène la froidure,
Je peux déjà penser aux prochaines moissons.
Extrait de l'ouvrage "A travers bois et champs"
Harmonie
A travers bois et champs je vais à la rencontre
D'un monde qui inspire à la paix, la douceur,
Contrairement aux villes où la vie nous démontre
La folle agitation qui cause le malheur.
En ces lieux enfiévrés règne l'indifférence,
L'humain est renfermé, égoïste, jaloux,
Il vit comme un reclus dans une effervescence
Qui brise le mental, excite le courroux.
Retiré de ce monde affairé et brutal
Qui n'a rien d'engageant, qui est impersonnel,
J'ai préféré opter pour le monde rural
Plus rustre, c'est certain, mais moins artificiel.
Je vis dans l'harmonie ; les chants de la nature
Que m'apporte le vent sont de belles chansons
Et, lorsque un jeune hiver amène la froidure,
Je peux déjà penser aux prochaines moissons.
Extrait de l'ouvrage "A travers bois et champs"
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